Nous savons désormais que l’élection que N. Sarkozy ne fut pas un accident. « Dans six mois », disait-on (pour s’en plaindre ou s’en réjouir), « cela aura l’air moins grave » : le temps devait arrondir les angles et la fonction légitimer l’homme. Les mois sont passés, et cette très mauvaise surprise n’est plus une surprise : rien ne s’est estompé, bien au contraire. Comprendre pourquoi, c’est percer à jour le véritable événement masqué par la (...)