Déjà en 1992, soit trente ans après l’indépendance de l’Algérie, l’historien algérien Benjamin Stora parlait d’une « guerre qui ne finissait pas, dans les têtes et dans les cœurs. Parce qu’elle n’a pas été suffisamment nommée, montrée, assumée dans et par la mémoire collective » (1).
Quinze ans plus tard, en ce mois de novembre 2007, le 17 très exactement, il m’a été donné de constater qu’il y a tout de même un cinéaste algérien de plus (...)