Tel était le commentaire le plus fréquent au lendemain du flot de paroles déversé par Nicolas Sarkozy, sourcils froncés, au cours de son intervention télévisée du 29 novembre.
Si l’on en croit le « Robert », « baratin » est bien le mot approprié. Approprié dans son sens actuel (discours abondant, tendant à en faire accroire, à circonvenir) mais aussi, dans son sens plus ancien (portefeuille vide substitué par un complice). Pendant près d’une heure, en effet, en répondant aux (...)