Durant l’été 2010, un oiseau prend ses aises dans mon petit jardin : poitrine mouchetée, tête fine, taille proche du merle. Il s’approche souvent lorsque je retourne de la terre pour profiter des vers déterrés mais aussi semble-t-il de larves et de certaines racines.
J’essaie progressivement de nouer conversation par un petit sifflement puis en imitant doucement son cri (Turlutüt). L’oiseau reste prudent, distant d’un bon mètre mais ne part pas penchant (...)