En 1971, mon beau-père malade me demanda de prendre en charge ses oiseaux (une cage de tarins, une cage de chardonnerets). Pour un militant politique très actif, il s’agissait d’une lourde tâche ; aussi, je me fixai l’objectif de les rendre heureux mais aussi les plus autonomes possible. Ce fut plus facile que je ne l’avais pensé.
J’installai deux branches de conifères (régulièrement changées) dans la salle à manger avec du papier journal dessous, les deux (...)