« J’en suis pourtant une preuve vivante » : en dépit de ses 78 ans, Lee Yong-soo bouillonne d’énergie et elle a ressenti comme un ultime outrage les déclarations du premier ministre, Shinzo Abe, qui a affirmé une nouvelle fois, lundi 5 mars, que les femmes contraintes à se prostituer pour l’armée impériale au cours de la seconde guerre mondiale « n’avaient pas été victimes de coercition ».
Mme Lee est l’un des trois « femmes de réconfort » - euphémisme (...)