« Les médias, c’est profondément contemporain et synonyme d’influence » (Philippe Labro) [1]
La France est, selon l’expression répétée ad nauseam, en retard en matière de télévisions locales. Si leur reconnaissance juridique date de la loi de décembre 1985, pendant de longues années il y eut peu de télévisions de ce type [2]. Effet du vieil atavisme d’un centralisme audiovisuel hérité, notamment, de la période gaulliste ? Sans doute. Mais surtout de l’absence (...)