Y’a t’il une population, plus qu’une autre, qui a le droit à la reconnaissance de la souffrance ?
Doit on uniquement se préoccuper des atrocités et de la mémoire d’une guerre par rapport à une autre, fut-elle mondiale ?
Les enfants qu’ils soient français ou allemands, juifs ou non juifs, ont le droit de voir l’avenir autrement qu’en se penchant individuellement sur une période qui n’est pas la leur.
Toujours dans cet esprit étroit et (...)