Les scrutins des 9 et 16 mars 2008 ont été marqués par le maintien d’un haut niveau d’abstention, en particulier dans les quartiers populaires. Cependant, huit mois après l’élection de Nicolas Sarkozy, la droite est sanctionnée et perd la direction de nombreuses communes et de plusieurs départements.
Le principal bénéficiaire de l’échec de la droite est le Parti socialiste, en dépit de son manque de crédibilité pour la construction d’une alternative politique. (...)