Monsieur le Président de la République,
Je suis saisi, depuis plusieurs mois, du sort de l’une des réfugiés italiens qui, après avoir été membres des Brigades rouges italiennes, se sont appuyés sur la parole donnée par François Mitterrand en sa qualité de Président de la République française pour venir vivre en France après avoir renoncé à toute forme de recours à la violence politique.
Marina Petrella a été en effet condamnée par la justice italienne, après avoir passé huit ans en (...)