Les auteurs rappellent, entre autres, contrairement aux prétentions maintes fois réitérées, l’absence de corrélation entre entrées de capitaux et croissance et, a contrario, l’absolue nécessité urgente de financements adéquats des biens publics dont l’absence pèse dangereusement sur les plus démunis et sur la planète.
Les graves perturbations de tous ordres qui font suite à ce que beaucoup « d’experts » dénomment la crise financière ne seraient-elles que légers (...)