Quand on a 20 ans et mille parutions derrière soi, il est temps de se soucier de son avenir. « Dis, jeune Politis, que feras-tu quand tu seras enfin adulte ? » Mais le développement d’un journal ne suit pas les lois de la biologie. La presse qui nous occupe, et nous passionne, est tributaire d’autres cycles, moins linéaires, qui sont ceux de la politique. C’est en cela que le bilan de Politis peut être intéressant. Il ressemble comme deux gouttes d’eau à celui de la (...)