Certes, la leçon n’est pas tout à fait aussi caricaturale à Londres qu’à Rome. Il ne s’agit que de municipales, un scrutin que l’on sait propice aux votes sanctions à l’encontre des pouvoirs en place. Les électeurs français ne viennent-ils pas d’infliger un sévère désaveu à un président de droite pourtant fraîchement élu ? Et puis David Cameron, le jeune leader des Tories, n’est pas Berlusconi. Il ne traîne pas derrière lui une cohorte de post ou (...)