La succession des contre-réformes, la violence et le cynisme du gouvernement et de la classe dirigeante semblent avoir comme anesthésié notre peuple qui fait le gros dos, en attendant que ça passe ou même se résigne à tirer un trait sur les espérances anciennes. « Ça sera plus difficile, beaucoup plus difficile pour nos enfants que pour nous ! » : ce n’est plus un cri de désespoir, plus un appel à la révolte mais un constat amer d’un fait contre lequel on ne pourrait rien. Où (...)