En créant des conditions économiques de concurrence effrénée entre les paysans du monde, l’OMC est responsable de la crise sans précédent qui secoue les campagnes. La libéralisation des échanges de produits agricoles est synonyme de misère, de suicides, de faillites, de migrations subies et inhumaines.
La Confédération paysanne se félicite de l’échec dans lequel se trouve l’OMC à Genève auquel elle a contribuée en manifestant depuis 10 ans dans les rues de Seattle, Doha, (...)