De retour. Je reprends mes habitudes. A commencer par l’observation du gavage des crânes par le vingt heures à la télé. Je tombe sur la cérémonie finale des jeux de Pékin. Le présentateur retrouve le ton du persiflage anti chinois qui s’était un peu effacé ces temps derniers. Si cette arrogance me peine ce n’est pas parce qu’elle surprend mais parce qu’elle est devenue banale. La violence des clichés qu’elle contient est banalisée. Donc elle finit par (...)