Après avoir largement remporté le référendum du 10 août, le président de la Bolivie, Evo Morales, a proposé à l’oligarchie de négocier. Comme il fallait s’y attendre, l’oligarchie a répondu à Morales par une nouvelle offensive contre le gouvernement démocratiquement élu, en utilisant tous les moyens à sa disposition : la violence, les gangs fascistes, le sabotage économique, etc.
La nuit du référendum lui-même, Ruben Costas, le préfet de Santa Cruz – et l’une (...)