L’ensemble des mesures politiques, économiques et sociales prises par l’actuel gouvernement Berlusconi constitue un véritable permis de tuer les ouvriers. Non, hélas ce n’est pas une provocation, car en effet, si l’on veut empêcher un crime on légifère, on prend des mesures de prévention et de sanction. On ne ferme pas les yeux, pour ensuite prendre des mesures pour blanchir les coupables. En Italie, au contraire, face au massacre quotidien dans le travail [1] (...)