Renault a annoncé la suppression de 4.000 postes. Craignez-vous une multiplication de ce type d’annonces ?
Avec les emplois induits, ce sont en réalité deux ou trois fois plus d’emplois qui vont disparaître. C’est très grave, d’autant que la situation de Renault ne justifie pas ces suppressions : l’entreprise cherche une plus grande rentabilité alors qu’elle dégage déjà des marges très importantes sur les véhicules produits. Ne nous leurrons pas, ce (...)