lundi 22 septembre 2008
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Il y a quelques mois, les principaux oracles de la planète financière multipliaient les communiqués lénifiants sur la crise. En mai dernier, Dominique Strauss-Kahn expliquait au Parlement européen : « Il y a de bonnes raisons de penser que les institutions financières ont révélé l’essentiel [des dégâts], surtout aux Etats-Unis. [...] Les pires nouvelles sont donc derrière nous ». Aujourd’hui Alan Greenspan, ancien président de la Réserve Fédérale, la banque centrale américaine, (...)