samedi 20 septembre 2008
par Brigitte Blang (BN du PG)
Au festival de Cannes, en 2006, nous croisions une vraie œuvre, de celles qu’on n’oublie pas, un film de Lucas Belvaux. Vous vous souvenez de ce triptyque éblouissant : Un couple épatant / Cavale / Après la vie ? Eh bien c’est du même, vous voyez la pointure…
La raison du plus faible, c’est une histoire de braquage, sur fond de Belgique enchômagée, et de noir désespoir, noir comme un ciel wallon, ou lorrain, éventuellement. Au détour des chaînes du câble, (...)