Tous les dirigeants socialistes, de Jean-Christophe Cambadélis à Manuel Valls en passant par Benoît Hamon, sont d’accord entre eux : le PS d’Épinay est mort. La déroute de l’élection présidentielle acte de la fin d’un cycle, la « fin d’une histoire ». Il parlent de refondation, de reconstruction. Mais ce n’est pas la première fois dans son histoire que le PS connaît une telle situation. Ce dossier a pour objectif de resituer les débats à venir de cette (...)