Fillon veut s’attaquer à l’évasion fiscale et au blanchiment d’argent. L’outre-mer français est loin de donner l’exemple... Gustavia, sur l’île de Saint-Barthélémy (Martin Lie/Wikimedia Commons)
Les paradis fiscaux « ne doivent plus exister », a déclaré un François Fillon emporté par la crise, le 14 octobre. Le Premier ministre pensait-il aux places off shore qu’abrite le territoire français ?
Selon les spécialistes, Saint-Martin, (...)