Cet économiste de sensibilité altermondialiste, plus écouté à l’étranger qu’en France, analyse la crise actuelle du capitalisme et revient sur l’essor des pays émergents. Il explique pourquoi il ne croit pas à un nouveau « Bretton Woods ».
Diriez-vous,comme le penseur américain Immanuel Wallerstein, que « le capitalisme touche à sa fin » ?
J’adopterais une position intermédiaire. Effectivement, l’ampleur de la crise est telle qu’elle remet en cause la (...)