Certains directeurs d’école n’en démordent pas, ils refusent de renseigner le fichier Base élèves (BE), et la suppression des informations les plus sensibles n’y change rien. Pour Christophe Brunault – un des 170 à avoir signé l’Appel à la résistance citoyenne contre le fichage des enfants [1] –, cette apparente victoire avait un goût d’inachevé pour les collectifs mobilisés. « Nous avions juste oublié que l’objet même d’une (...)