L’architecture politique, sociale, culturelle qu’édifie le néolibéralisme est-elle modifiable ? Les citoyens sont-ils condamnés à demeurer enfermés dans l’actuel périmètre de l’horreur économique sans possibilité de réagir ? Existe-t-il d’autres pistes à explorer pour que l’humanité retrouve le sens du bien commun ? De plus en plus de personnes, au Nord et au Sud, estiment que trop, c’est trop.