Foin de la diplomatie et de la langue de bois. Ce début mars va représenter la première épreuve de vérité pour le Nouveau Parti anticapitaliste. Épurée d’une large part des représentants de la minorité « unitaire » au terme du coup de force orchestré à l’issue de son congrès fondateur (Politis en a rendu compte), sa direction va devoir définitivement sortir de l’ambiguïté : ou, à l’occasion des rencontres organisées avec ses partenaires potentiels, elle ouvre enfin (...)