Dans la masse des commentaires suscités par la crise, on entend des remarques ou analyses qui devraient nous faire sauter au plafond. Non point parce qu’elles sont fausses mais, au contraire, parce que leur cohérence nous fait mesurer, par contraste, combien était contestable - et très idéologique - le discours hier encore dominant.
On nous dit aujourd’hui que les Français souffriront peut-être moins durement de la crise que les Britanniques, les Américains ou même les (...)