Il y a deux manières de tester les résultats du G20.
La première est de regarder le bonheur affiché par les Bourses mondiales dès l’annonce des résultats. Elles ont flambé. Preuve que les spéculateurs ont compris que la circulation des capitaux ne serait pas entravée par les gesticulations des gouvernements.
La seconde est de regarder si la City de Londres, première place financière du monde, serait ramenée à la raison, c’est-à-dire cesserait d’être un havre pour les (...)