Obéissant aux directives de Nicolas Sarkozy, les forces de l’ordre sur place ont sciemment voulu entraver la tenue du grand rassemblement populaire et pacifique et de la manifestation. Ils ont préféré promouvoir l’image des casseurs. Les autorités françaises ont mis en danger des dizaines de milliers de manifestants anti-Otan, pris en étau entre les charges de policiers et les agressions des casseurs. Vingt mille autres personnes présentes dans la ville n’ont pu manifester (...)