Un policier présent samedi dans l’hôtel de Strasbourg incendié par des militants autonomes en marge du sommet de l’Otan a accusé sa hiérarchie d’avoir mis en danger sa vie et celle de ses collègues, en tardant à leur porter secours.
Dans un courriel envoyé mardi aux syndicats de police, le gardien de la paix raconte qu’il était "dans l’hôtel Ibis lors de l’attaque des +Black blocks+ (...) d’une extrême violence". "Nous avons vu la mort de près, de (...)