J’avais attiré ici l’attention plusieurs fois sur la mystification des normes comptables qui font apparaître des gains et des pertes fictifs dans les bilans des grandes entreprises. J’avais notamment pris l’exemple de la Caisse des dépôts et consignations (CDC) dont le directeur général, Augustin de Romanet, avait, à la fin de l’année 2008, vendu la mèche. (Voir le texte précédent « Sauver les banques ou couvrir un système absurde ? », 20 décembre 2008). Eh (...)