Les mauvaises langues prétendent que la promotion de Philippe Val sent le copinage ou le renvoi d’ascenseur. Il n’en est rien : Philippe Val, comme Bernard Kouchner et Eric Besson, ne doit sa nomination qu’à son talent et à sa compétence. Qui oserait en douter ? Et douter de la compétence de l’ancien chansonnier devenu philosophe et fabuliste ?
On prête déjà les pires intentions à Philippe Val. Ce procès est indigne. Ce procès nous indigne (enfin, pas (...)