« Je ne sais pas pourquoi on dit autant de conneries sur moi. » Dans son pavillon de banlieue parisienne, petit salon, piano, bibliothèque, l’homme, silhouette mince et barbe de deux jours, s’interroge. Demain, l’ex-patron de Charlie Hebdo annoncera officiellement son départ à la rédaction qu’il dirige depuis dix-sept ans. Il va à Radio France, rejoindre son ami Jean-Luc Hees, pour diriger France Inter ou autre chose, il dit ne pas savoir. Cela fait des semaines que (...)