Appel internationaliste pour le succès du mouvement mené par Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle

dimanche 5 août 2012.
 

Dirigeants de mouvements politiques ou sociaux, universitaires, écrivains, artistes, Européens, citoyens du monde arabe, Américains du Sud et du Nord : 166 personnalités de 36 pays, engagées contre « les ravages sociaux et écologiques du capitalisme mondialisé », s’engagent avec cet appel international pour le succès du mouvement mené par Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle.

"Depuis sa création en 2009, le Front de gauche, qui rassemble plusieurs partis de la gauche française - dont le Parti communiste et le Parti de gauche -, inscrit son action dans une perspective résolument internationaliste. Il a établi de multiples relations avec des partis progressistes, des mouvements sociaux et citoyens, des syndicalistes, des intellectuels, des artistes et des créateurs de tous les continents. C’est un nouveau réseau international de l’"autre gauche" que le Front de gauche et ses partenaires entendent construire.

Cet "Appel internationaliste pour le succès du Front de gauche à l’élection présidentielle en France" constitue une contribution à ce projet. Il témoigne de l’écho international croissant de la campagne de son candidat à la présidence de la République, Jean-Luc Mélenchon. Dans chacun des 36 pays d’où ils sont issus, ce sont en effet des dirigeants politiques, des acteurs des mouvements sociaux et de l’altermondialisme, du syndicalisme, de la vie intellectuelle et de la culture, de la lutte pour les droits de l’homme de premier rang qui apportent leur soutien à la dynamique de cette campagne du Front de gauche."

Avec le Front de gauche, une autre Europe, une autre mondialisation

Nous, universitaires, intellectuels, écrivains, artistes, dirigeants de forces politiques, de syndicats, de mouvements sociaux et citoyens, sommes engagés dans la construction de fronts politiques et sociaux, démocratiques et populaires, pour combattre les ravages sociaux et écologiques du capitalisme mondialisé et ses oligarchies. Et ce, aussi bien dans nos pays respectifs qu’à l’échelle internationale.

Nous constatons que, partout, les résistances et les luttes se multiplient et s’organisent. Elles contribuent à l’émergence d’un vaste mouvement planétaire des idées ; celui qui inspire déjà, en Amérique latine, des formes de construction régionale fondées sur la solidarité et la souveraineté populaire, ainsi que des mesures gouvernementales de rupture avec le néolibéralisme.

Depuis la crise financière de 2008, l’Europe, pilier du capitalisme mondialisé et de son ordre globalitaire, est devenue l’épicentre de la crise mondiale. Ses peuples subissent de brutales politiques d’ajustement structurel en tous points semblables à celles que les pays du Sud, entre autres, ont connues dans les années 1990 et au début des années 2000.

Les acteurs sont en partie les mêmes : gouvernements conservateurs ou sociaux-démocrates et Fonds monétaire international (FMI). Se sont adjoints à ce dernier, la Commission européenne et la Banque centrale européenne pour former la sinistre et toute-puissante « troïka » qui administre désormais ses remèdes cruels aux populations.

L’histoire nous enseigne que lorsque l’Europe est prise de convulsions, c’est le monde entier qui peut vaciller. Pour l’empêcher de sombrer dans l’austérité à perpétuité, la récession généralisée et dans un projet politique autoritaire et réactionnaire, la montée en puissance, en France, du Front de gauche, aux côtés des autres forces progressistes européennes, est une bonne nouvelle, en même temps qu’une nécessité. Car la voix de la France compte dans le monde, lorsqu’elle s’inscrit dans la tradition des Lumières, de la Révolution de 1789, de la Commune, du Front populaire, de la Résistance.

Le Front de gauche incarne tout le potentiel renouvelé de cette grande tradition du socialisme historique, de l’émancipation sociale, du progrès et de la construction d’un intérêt général humain. Il prend aussi en compte l’enjeu du XXIe siècle que constitue la compréhension de l’unicité de notre écosystème et l’urgence de le préserver par une reconversion écologique à l’échelle mondiale qui tienne compte de la dette écologique que les pays industrialisés ont à l’égard des autres pays.

Grâce au Front de gauche, la France peut contribuer de manière significative à la construction d’une autre Europe et d’une autre mondialisation. C’est pourquoi l’enjeu d’y construire une autre gauche ayant tiré le bilan de l’échec et de l’écroulement du communisme d’Etat, en même temps que celui de la conversion de la social-démocratie à un social-libéralisme d’accompagnement et de rafistolage du système capitaliste globalisé, est crucial. Crucial pour la France et l’Europe, mais aussi pour le reste du monde.

Nous pensons que la réussite du Front de gauche et de son candidat à l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, Jean-Luc Mélenchon, peut concourir au renouveau et au renforcement d’un internationalisme de combat contre la finance mondialisée. C’est pourquoi nous souhaitons un plein succès au Front de gauche et exprimons notre solidarité avec son candidat.

Kader Abderrahim, politologue, Algérie

Ben Hida Abderrahmane, membre du secrétariat national du Parti de l’action démocratique socialiste (PADS), Maroc

Moumen Abib médecin, membre du Conseil national du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Algérie

Dalal Abu Saud, universitaire et membre du Forum social Palestine, Palestine

Amina Aetab, militante du Mouvement du 20 Février et de l’Organisation pour la liberté d’information et d’expression (OLIE), Maroc

Vittorio Agnoletto, ancien député européen et porte parole du Forum social de Gênes, Italie

Samir Aita, rédacteur en chef du Monde diplomatique éditions arabes, président du cercle des économistes arabes, Syrie

Zahra Ajaram, militante associative, Maroc

Sanhadja Akrouf, militante féministe, Algérie

Tariq Ali, écrivain, Royaume-Uni

Tewfik Allal, éditeur, président de l’Association du Manifeste des libertés (AML), Algérie

Samir Amin, économiste, Président du Forum mondial des alternatives, Egypte

Samia Amour, militante féministe, Algérie

Antônio Carlos Andrade, président du Partido Socialismo e Liberdade (PSOL) Parti Socialisme et liberté, Brésil

Julio Anguita ancien maire de Cordoue, ancien secrétaire général de Izquierda Unida (Gauche unie), Espagne

Ana Maria Araujo Freire, éducatrice et successeur légale de Paulo Freire, Brésil

Luis Araujo, membre de la direction nationale du PSOL, Brésil

Jorge Arrate, membre du Movimiento Amplio de Izquierda (MAIZ) (Mouvement élargi de gauche), candidat de la gauche aux présidentielles de 2009, Chili

Valmir Assunção, député du Parti des travailleurs (PT), Brésil

Alexandra Ayala-Marín, journaliste « El Hoy », Equateur

Mohand Bakir, journaliste, blogueur, Algérie

André Bansart universitaire, Université Simon Bolivar de Caracas, Venezuela

Houcine Bardi, docteur en droit, avocat au barreau de Paris, Secrétaire général et porte-parole du Parti du travail tunisien - France (PTT-F), Tunisie

Ariel Basteiro, ancien député Nuevo Encuentro, Argentine

Abdeljalil Bedoui, coordinateur et porte-parole du Parti tunisien du travail, Tunisie

Aymen Belhadj, syndicaliste étudiant, président de l’Union générale des étudiants tunisiens, France, Tunisie

Tarik Ben Hiba, ancien membre de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la Révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, ancien conseiller régional d’Ile-de-France, militant associatif de l’immigration, Tunisie

Ahmed Benani, politologue et anthropologue des religions, Maroc

Rosa Bofill Benet, responsable du secteur femmes de la Confédération syndicale des commissions ouvrières (CCOO) de Catalogne, Espagne

Ghizlane Benomar, militante du Mouvement du 20 Février, Maroc

John Berger, écrivain et critique d’art, Royaume-Uni

Thierry Bodson, secrétaire général de la Fédération générale du travail de Belgique, Belgique

Carmen Bohórquez, historienne, philosophe, Venezuela

Carl Boileau, conseiller d’arrondissement du District de De Lorimier (Projet Montréal), Québec

Blanca Flor Bonilla, maire d’Ayutuxtepeque, Salvador

Afrânio Bopré, ancien député du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Mustapha Bouaziz, universitaire, historien, Maroc

Leonor Bravo, écrivain, Equateur

Marinor Brito, ancienne sénatrice du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Monica Bruckmann, sociologue, Université fédérale de Fluminense, Brésil

Alberto Burgio, philosophe et homme politique, Italie

Pilar Bustos, peintre, Equateur

Julio C. Gambina, Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine

Rodrigo Cabeza, membre de la direction nationale du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) et du Parlement latino-américain, Venezuela

Marcelo Roman Campana, membre de la direction nationale du Pôle démocratique d’Equateur, Equateur

Daniel Campiones, Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine

Luiz Arnaldo Campos, Fondation Lauro Campos Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Javier Diez Canseco, député Parti socialiste, Pérou

Teresa Carballeira, professeure de droit, Université de Saint-Jacques de Compostelle, Espagne

Luis Casado, responsable des relations internationales Partido de Izquierda (PAIZ), Chili

Bernard Cassen, journaliste, membre du Conseil international du Forum social mondial, France

Carmen Castillo, écrivain, cinéaste, Chili

Ramon Chao, journaliste et écrivain, Espagne

Lakbira Chater, syndicaliste, Union marocaine du travail, Maroc

Carlos Nelson Coutinho, professeur, intellectuel, Université fédérale de Rio de Janeiro, Brésil

Ángel Crespo Sánchez, secrétaire général de la Confédération syndicale des commissions ouvrières (CCOO) de Barcelone, Espagne

Norberto Crivelli, président du Parti suisse du travail, Suisse

Erik de Bruyn, porte-parole de Rood ! Belgique

Armando de Souza, ancien secrétaire général de la Confédération générale des travailleurs portugais, Portugal

Diether Dehm, député, producteur, auteur-compositeur Die Linke (La Gauche), Allemagne

Jean-Maurice Dehousse, ancien bourgmestre de Liège, ancien vice-président du groupe socialiste au Parlement européen, ancien ministre, Belgique

Demba Moussa Dembélé, directeur du Forum, économiste, chercheur, Forum africain des alternatives, Sénégal

Nidia Diaz, députée du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN) au Parlement centre-américain,

Salvador Héctor Díaz-Polanco, anthropologue, Mexique

Abderrezak Dourari, professeur des sciences du langage, Université d’Alger 2 (Tamazight), Algérie

Benjamin Durand, professeur de réalisation cinématographique et responsable du département de formation intégrale de Vive TV Université nationale expérimentale des arts, Venezuela

Mohamed Elaouni journaliste, coordinateur du Conseil national pour l’appui au Mouvement du 20 Février, coordinateur du mouvement pour une constitution démocratique au Maroc, membre du secrétariat du conseil national du PSU, Maroc

Klaus Ernst, co-président de Die Linke, Allemagne

Saul Escobar, membre du Parti de la révolution démocratique (PRD), Mexique

Lindbergh Farias, sénateur, Parti des travailleurs, Brésil

Saïd Fawzi, ancien président de l’Association de défense des droits de l’homme au Maroc (Asdhom), Maroc

Heloísa Fernandes, sociologue, Université de Sao Paolo, enseignante à l’ École nationale Florestan Fernandes du Mouvement des sans terre (MST), Brésil

Paolo Ferrero, secrétaire général du Parti de la refondation communiste, Italie

Fernando Ferro, député Parti des travailleurs, Brésil

Carlos Figueroa syndicaliste Fédération médicale d’Equateur, Equateur

Giorgos Gavrilis, membre du Conseil exécutif et ancien vice-président de la Confédération centrale des travailleurs grecs, Grèce

Mohamed Ghafri, militant du Mouvement du 20 Février, Maroc

Paula Gil, initiatrice du mouvement Génération "à l’arrache" contre la précarité, Portugal

Manolis Glezos, écrivain et ancien député européen, Grèce

Richard Gott, journaliste et historien, Royaume-Uni

Juan Goytisolo, écrivain, Espagne

Dino Greco, directeur de Liberazione, Italie

Mamdouh Habashi, secrétaire national Parti socialiste égyptien (PSE), Egypte

Marta Harnecker, sociologue, Chili

Tania Hermida, ancien député de l’Assemblée constitutionnelle, cinéaste, Equateur

Vilma Ibarra, ancienne députée Nuevo Encuentro, Argentine

Abdellaziz Iimoudane, membre du Parti de la voie démocratique, Maroc

Francisco Jarauta, professeur, philosophe, écrivain, Université de Murcia, Espagne

Fatima Khafagy, membre de la commission des relations internationales, Parti de l’Alliance populaire socialiste (APS), Egypte

Hassan Khalil écrivain, docteur-chercheur en philosophie, Liban

Mohamed Farid Khemisti, avocat, Algérie

Michel Kilo, membre du Forum démocratique syrien, Syrie

Leandro Konder, professeur, intellectuel, Brésil

Jorge Kreynes, membre du Parti communiste, Argentine

Oskar Lafontaine, ancien ministre, fondateur de Die Linke, Allemagne

Mehdi Lallaoui, écrivain, cinéaste, Algérie

Cayo Lara, secrétaire général de Izquierda Unida (Gauche unie), Espagne

Junghee Lee, président Parti progressiste unifié, Corée du Sud

Araceli Lemos, ancien député Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Felipe López Aranguren, sociologue et poète, Espagne

Clara Eugenia López Obregón, présidente du Pôle démocratique alternatif, Colombie

Gesine Löszch, co-président de Die Linke, Allemagne

Francisco Louça, président du Bloco de Esquerda (Bloc de gauche), Portugal

Clécio Luis, conseiller Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Mohamed Makhlouf, journaliste-écrivain, Syrie

Maria José Maninha, ancien député du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil

Dionilson Marcon, député du Parti des travailleurs, Brésil

Citto Maselli, scénariste et réalisateur, Italie

Juliano Medeiros, coordination UNAMÉRICA, Parti Socialisme et liberté, Brésil

José Luis Mendez, professeur à l’Université de Porto Rico, Porto Rico

Youcef Merrouche, secrétaire national à l’immigration, Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Algérie

Samia Messaoudi, journaliste, Algérie

Francine Mestrum, universitaire, membre du Conseil international du Forum social mondial (FSM), Belgique

Willy Meyer, député européen Izquierda unida (Gauche Unie), Espagne

Florent Michelot, directeur général de Option Nationale Québec, Québec

Tarik Mira, député de Béjaia, Algérie

Juan Carlos Monedero, professeur Université de Somosaguas, Faculté des sciences politiques et de sociologie, Espagne

Mohamed Mouhajid, membre du bureau politique du Parti socialiste unifié, ancien secrétaire général, Maroc

Nabila Mounib, secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Maroc

Salvador Muñoz, président de Partido de Izquierda (Parti de Gauche), Chili

P.K. Murthy, syndicaliste The Lal Zhanda Coal Mines Mazdoor Union, Inde

Roberto Musacchio, ancien député européen, Italie

Marie Nacif Debs, secrétaire générale adjointe Parti communiste libanais, Liban

Noureddine Najar, économiste, coordinateur d’Ettajdid-France, Tunisie

Hassan Nekrache, universitaire, membre du secrétariat du Mouvement pour une constitution démocratique, Maroc

Ana Elisa Osorio, membre de la direction nationale du Parti socialiste unifié du Venezuela et du Parlement latino-américain (Parlatino), Venezuela

Luis Antonio Pasquetti, professeur Université de Brasilia, Brésil

Hélena Pato, universitaire, fondatrice du Mouvement des femmes (MDM), résistante historique au régime de Salazar, Portugal

Rodrigo Pereira, membre de la direction nationale Parti Socialisme et liberté, Brésil

Orlando Perez, directeur du Journal El Telegrafo, Equateur

Gustavo Pérez Ramírez, sociologue et membre de l’Académie d’Histoire de Quito, Equateur

Khalid Rahel, militant des droits de l’homme, membre du secrétariat du Conseil national du Parti socialiste unifié, Maroc

Carlos Raimundi, député Nuevo Encuentro, Argentine

Beatriz Rajland, membre Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine

Gloria Inez Ramirez, député Pôle démocratique alternatif/ Parti communiste colombien, Colombie

Ignacio Ramonet, directeur du Monde diplomatique en español, Espagne

Ariovaldo Ramos, professeur de théologie et prêtre, Brésil

Julia Ramos Sanchez, secrétaire exécutif de la Confédération nationale des femmes paysannes indigènes et originaires de Bolivie

“Bartolina Sisa”, ancienne ministre du développement rural et des terres, Bolivie

Rayhana comédienne, Algérie

Alexis Rivas Toledo, anthropologue, ancien ministre du patrimoine Equateur

Randolfe Rodrigues, sénateur Parti Socialisme et liberté, Brésil

Edmilson Rodrigues, député Parti Socialisme et liberté, Brésil

Najib Saber, universitaire, Maroc

Emir Sader, secrétaire général du Conseil latino-américain de sciences sociales (CLACSO) et membre du Conseil international du FSM, Brésil

Napoleon Saltos, universitaire, Université centrale d’Equateur, Centre de pensée alternative, Equateur

Marta Sanz, écrivain, Espagne

Roberto Savio, membre du Conseil international du Forum social mondial, fondateur de l’agence Inter Press Service (IPS), Italie

Johanne Schmidt-Nielsen, porte-parole du groupe parlementaire de l’Alliance Rouge-Verte et au Conseil municipal de Copenhague, Danemark

Claude Semal, chanteur, auteur et comédien, Belgique

Pascual Serrano, écrivain et journaliste, fondateur du site Liberacion, Espagne

Ahmed Slimani, universitaire, directeur du centre d’études et de recherches Ben Saïd, Maroc

Ahmed Smaoui, ancien ministre, Tunisie

Ahmed Snoussi, artiste-humoriste, Maroc

Joao Pedro Stedile, membre de la coordination du Mouvement des sans terre et de Vía Campesina, Brésil

Niko Swarz, journaliste et écrivain, membre de la Comission des relations internationales du Frente Amplio (Front élargi), Uruguay

G.M. Tamás, philosophe et ancien député, Hongrie

Amauri Teixeira, député Parti des travailleurs, Brésil

Milton Temer, membre de la direction nationale Parti Socialisme et liberté, Brésil

Jean-Marie Théodat, professeur Université d’Etat d’Haïti et Université Paris 1, Haïti

Alexis Tsipras, président du parti Syriza et de son groupe parlementaire, Grèce

Attila Vajnai, président du Parti des travailleurs hongrois 2006, Hongrie

Ivan Valente, président du Parti Socialisme et liberté, Brésil

Mark Weisbrot, économiste et co-directeur du centre de recherche Center for Economic and Policy Research à Washington, Etats-Unis

Bernard Wesphael, député (Wallonie) Parti Ecolo, Belgique

Fatem Zahra Touzani, avocate de l’Organisation pour les libertés d’information et d’expression (OLIE) et militante du Mouvement du 20 Février, Maroc


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