Michel Larive au festival « Jazz in Marciac »

lundi 20 août 2018.
 

En tant que membre de la commission Culture à l’Assemblée nationale, Michel Larive s’est rendu au festival Jazz in Marciac, aux côtés des insoumis.es du Gers, qui l’ont accompagné tout au long de son séjour.

Au programme :

visites d’expositions, découverte d’artistes locaux

rencontre avec les associations et échanges avec la population

causerie organisée pour présenter le projet culturel de la France insoumise, sur le thème « Émanciper la Culture : les affaires de l’esprit doivent être libérées de l’esprit des affaires »

rencontre avec M. Guilhaumon, président du festival ainsi qu’avec les bénévoles

Michel Larive : « Marciac est un festival à taille humaine »

https://www.ladepeche.fr/article/20...

Député La France Insoumise de l’Ariège, Michel Larive est membre de la commission culture et éducation à l’Assemblée nationale. Cet été, il parcourt les routes de France, allant d’un festival à un autre pour faire connaître le projet culturel de son parti politique. Jazz in Marciac était une étape de choix. Arrivé hier, l’élu en a profité pour assister au concert de Carlos Santana, un musicien dont il apprécie les créations musicales depuis les années 1970.

Vous n’êtes pas venu à Marciac que pour ce concert ?

Évidemment que non. Je suis venu à Marciac pour rencontrer les citoyens et les citoyennes autour d’une causerie afin de leur présenter le projet culturel de la France Insoumise.

Et quel est-il ?

Par exemple, je prépare un projet de loi pour la rentrée parlementaire. Nous souhaitons réformer le système actuel des droits d’auteur pour créer un pot commun. À terme, le but est de soutenir les artistes dont les revenus sont faibles. Nous souhaitons aussi garantir une protection sociale à tous les artistes. Qu’ils soient plasticiens ou œuvrant dans le spectacle vivant.

Quel regard portez-vous sur Jazz in Marciac ? Est-ce encore un festival populaire ?

Marciac est un festival très convivial et encore à taille humaine. Le festival a su générer d’autres choses. Je pense notamment à la section jazz du collège.

Le prix des billets ne peut-il pas être un frein pour les spectateurs les moins aisés ?

Oui, la musique c’est cher, très cher… Et ce n’est pas la faute des programmateurs, mais des producteurs qui demandent des cachets exorbitants. Reste qu’à Marciac, le festival off, totalement gratuit, est de qualité.

Nicolas Guégan


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