Big Pharma Big + Brother + Big Matraque = Macron’s passs sanitaire.

vendredi 1er octobre 2021.
 

La base de l’obligation vaccinale dans le contexte actuel n’est ni sanitaire, ni scientifique mais politique et idéologique.

La continuation de la destruction de l’hôpital public rend difficilement crédible une justification de sauvegarde de la santé de la population

Vaccinés contre Nom Vaccinés : diviser pour régner tout en maintenant la tension et la peur.

Préambule .

Rappelons qu’il existe en France métropolitaine 11 vaccins obligatoires depuis 2018 et que le code de la santé publique et de la sécurité sociale disposent d’un dispositif réglementaire assez abondant que l’on peut consulter avec le lien suivant sur le site de Légifrance. https://www.legifrance.gouv.fr/code...

Il est prévu, entre autres, que les personnels de santé doivent être immunisés contre un certain nombre de maladies indiquées dans cette réglementation.

Tous les vaccins obligatoires, jusqu’à présent, ont été l’objet de tests se déroulant sur plusieurs années avant l’autorisation définitive de leur mise sur le marché.

Remarquons que certains vaccins comme l’indique cette réglementation, ont été suspendus.

La particularité de la situation actuelle est que les vaccins contre la COVID 19 sont toujours en période d’essai ce qui rend dans ce cas particulier l’obligation vaccinale problématique.

La décision du président Macron de rendre obligatoire la vaccination contre la COVID 19 pour les soignants et toutes les catégories professionnelles en contact avec le public relance le débat sur l’obligation vaccinale qui avait déjà démarré en janvier 2021. Rappelons qu’a l’heure actuelle, la fin des essais est fixée au 27 octobre 2022 pour Moderna, et au 2 mai 2023 pour Pfizer selon les propos de ces laboratoires.

Cela permet à un certain nombre d’esprits critiques, qui ne sont pas forcément des « anti vax » de considérer que la vaccination jusqu’à cette date à un caractère expérimental et que les personnes vaccinées constituent en quelque sorte des cobayes consentants. Le ministre de la santé refuse cette terminologie d’expérimentation considérant que celle-ci est terminée à partir de la mise sur le marché des vaccins qui est réalisée.

Remarquons cependant qu’il s’agit d’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché.

Sans même avoir connaissance de la convention de Nuremberg, il paraît, a priori, assez étonnant que l’on puisse rendre obligatoire un vaccin dont on ne connaît pas à moyen et à long terme tous les effets secondaires.

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C’est probablement pour cette raison de bon sens que l’assemblée du conseil de l’Europe et l’OMS ne préconisent pas actuellement l’obligation vaccinale d’autant que le taux de mortalité de l’épidémie reste globalement faible (0,03 %).

La résolution 1361 du 27/01/2021 du Conseil de l’Europe recommande de ne pas rendre cette vaccination obligatoire.

Source : France Soir

https://www.francesoir.fr/societe-s...

Le 27 janvier, le Conseil de l’Europe a signé la résolution 2361, qui recommande que les vaccinations dans les États membres ne soient pas obligatoires. En outre, les personnes qui n’ont pas été vaccinées ne doivent en aucune manière faire l’objet de discrimination. Une entrave aux projets de « passeports vaccinaux » ? Le Conseil de l’Europe est une "vigie" des droits de l’homme mais ses recommandations ne sont pas contraignantes.

Nous reprenons un article de Christer Ericsson paru dans le journal "NyaTider" du 10 février, qui commentait cette résolution et ses conséquences

La résolution, peu relayée jusqu’ici par les politiques et les médias principaux, va jusqu’à ordonner aux États membres d’informer activement les citoyens de ces droits.

De nombreux citoyens se demandent si les vaccins insuffisamment testés seront obligatoires, car cela a déjà été proposé dans plusieurs pays. En Suède, cependant, cela n’a pas été le cas, en raison d’une loi qui interdit les interventions médicales involontaires. Mais malgré cette loi, les gouvernements pourraient exercer une pression si forte sur leurs populations, qu’il pourrait devenir presque impossible de vivre sans être exposé à ce coup expérimental.

Au Danemark, un passeport vaccinal pourrait bientôt être requis pour accéder aux centres commerciaux, aux événements sportifs et autres lieux publics, aux transports publics ou aux voyages à l’étranger. Heureusement, le Conseil de l’Europe met désormais un terme définitif à ces projets, car les expériences médicales involontaires sont interdites par la Convention de Nuremberg.

Le Conseil de l’Europe est une organisation intergouvernementale de coopération européenne qui compte 47 États-membres, bien au-delà de l’Union européenne donc (Russie, Turquie, Suisse, Royaume-Uni, Norvège... qui ne font pas partie de l’UE en sont membres). Ses résolutions ne sont pas juridiquement contraignantes, ni pour les Etats-membres, ni pour l’UE, mais les recommandations adressées aux États membres sont presque toujours respectées. Par exemple, pas plus tard qu’en novembre de l’année dernière, le gouvernement a proposé que les lois suédoises soient modifiées à la suite de la convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité.

La résolution sur la vaccination forcée décrit brièvement les problèmes causés par la pandémie de Covid-19 avec le chômage, le ralentissement économique et la pauvreté qui en résultent. Il souligne également une certaine méfiance de la population européenne à l’égard d’un programme de vaccination forcée. La résolution contient diverses recommandations sur la manière de parvenir à une importante prise de vaccin, mais aussi quelque chose d’inattendu - à savoir des dispositions claires à cet égard.

Le point 7.3 de la résolution oblige tous les États-membres à veiller à ce que les citoyens soient informés que les vaccinations Covid ne sont PAS (le seul mot écrit en majuscules tout au long de la résolution) obligatoire et que personne ne subit des pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner.

Deuxièmement - au moins aussi important - les États-membres doivent veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas être vacciné en raison de risques potentiels pour la santé ou parce que la personne ne veut tout simplement pas être vaccinée.

Ce dernier est particulièrement intéressant compte tenu de la propagande actuelle des passeports de vaccination par les médias du système et plusieurs gouvernements européens, pour qui il est nécessaire. Le gouvernement suédois a annoncé le 4 février qu’il avait décidé d’introduire un certificat de vaccin numérique qui sera prêt d’ici l’été. Mais à quoi sert-il alors, s’il devient illégal de discriminer quelqu’un qui ne l’a pas ?

Lorsque le gouvernement suédois a résumé les choses les plus importantes de la session d’hiver du Conseil de l’Europe sur son site Internet le 29 janvier, cela n’a pas été mentionné - de loin le plus important de toute la résolution - en un seul mot. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, étant donné la propagande sans précédent pour les vaccinations de masse du gouvernement suédois et non des moindres du système médiatique, qui est gonflé à des niveaux jamais vus auparavant, même en temps de guerre.

En Allemagne, le Premier ministre de Bavière Söder (CSU)pousse pour les vaccinations obligatoires pour certains groupes professionnels, par exemple en soins infirmiers. Et il a même fait appel au Conseil d’éthique allemand pour l’aider dans cet effort. Des rumeurs ont circulé selon lesquelles Söder aurait reçu des pots-de-vin de sociétés pharmaceutiques.

Selon la Convention de Nuremberg, les vaccins expérimentaux peuvent être considérés comme une expérience sur la population. Dans le cas des jabs d’ARNm de ModeRNA et de Pfizer, ils n’ont jamais été testés auparavant.

La Convention se compose de dix points et le premier affirme : le consentement volontaire du sujet humain est absolument nécessaire. Mais la question demeure : est-ce vraiment volontaire si vous n’êtes pas autorisé à travailler, à envoyer les enfants à l’école, à voyager ou même à visiter le centre commercial si vous ne vous soumettez pas aux vaccins expérimentaux ?

Le cinquième point déclare : Aucune expérience ne doit être réalisée là où il y a des raisons de croire que la mort ou une blessure invalidante se produira. D’innombrables autorités sanitaires et de contrôle dans plusieurs pays ont indiqué comment elles s’attendaient à ce que cela se produise à une assez grande échelle. Les décès de blessures graves liées aux vaccins ont déjà été répertoriés à la suite des vaccinations, y compris au CDC de l’Agence de santé publique des États-Unis.

Les lecteurs doivent télécharger les informations sur leur smartphone pour les avoir à portée de main chaque fois qu’il devient nécessaire de rappeler aux responsables gouvernementaux les lignes directrices du Conseil de l’Europe.

En France, le gouvernement a longtemps parlé du passeport vaccinal comme étant une des solutions à l’étude. La député européenne Michèle Rivasi nous a expliqué les réels problèmes liés à la vaccination de masse en cours ainsi que ceux liés au passeport vaccinal. Le président Macron a de son côté évoqué que ce ne serait pas un passeport vaccinal mais un « pass sanitaire ». Un terme de plus qu’il va falloir caractériser afin d’en comprendre les contours.

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EXTRAIT DE LA RÉSOLUTION 2361 DU CONSEIL DE L’EUROPE ADOPTÉE LE 27 JANVIER 2021 :

7.3 en ce qui concerne la garantie d’un taux élevé de vaccination : 7.3.1 s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner s’il ne souhaite pas le faire lui-même ; 7.3.2 veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques sanitaires potentiels ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;

Source : https://pace.coe.int/en/files/29004/html

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L’article suivant du journal 20 minutes est en accord avec toutes les informations précédentes

Coronavirus : vaccination optionnelle contraignante.

https://www.20minutes.fr/societe/29...

Un petit extrait de cet article qui complète le précédent :

L’Assemblée du conseil de l’Europe regroupe les parlementaires [députés, sénateurs] des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe – dont, bien sûr, la France et les autres pays de l’Union européenne, mais aussi la Turquie, la Russie et les pays du Caucase. Ses résolutions ne sont pas juridiquement contraignantes ni sur les 47 Etats du Conseil de l’Europe, ni sur l’Union européenne », précise l’APCE.

L’organe rappelle toutefois sa réputation de « conscience démocratique » de l’Europe et le fait que « ses positions portent une valeur morale sur le plan international » : « Elles ont une influence indirecte sur la législation nationale puisque les mêmes parlementaires regroupés au sein de l’Assemblée votent – dans leurs parlements – les lois nationales. L’Assemblée s’exprime au nom de 830 millions d’Européens, via leurs parlements, et ses positions ont donc une influence non négligeable dans les débats au sein de l’UE. »

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Rappelons que l’OMS n’est pas favorable à rendre la vaccination contre la COVID 19 obligatoires. Voir article du journal Le Point avec Jour c le lien suivant :

https://www.lepoint.fr/monde/covid-...

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En rendant obligatoire la vaccination avec des vaccins ARN le gouvernement les députés qui voteront cette loi prennent un risque car on ne connaît pas les effets secondaires graves à moyens et longs terme de tels vaccins. Conscient de ce risque, le professeur Raoul préconise plutôt l’utilisation du vaccin chinois qui utilise une technologie traditionnelle connue de longue date et éprouvée.

Contrairement à des affirmations de personnes insuffisamment qualifiées dans le domaine de la génétique moléculaire, une recombinaison de l’ARN dans le génome humain contenu dans le vaccin n’est pas impossible.

Voir article technique expliquant pourquoi en utilisant le lien suivant : https://reinfocovid.fr/science/inte...

Le Professeur Raoul confirme cette analyse et rappelle les travaux récents d’un membre de l’Académie des sciences des États-Unis concernant le coronavirus. (Vers la fin de l’interview) https://www.youtube.com/watch?v=UVm...

En cas de catastrophe sanitaire future en relation avec ce vaccin, les responsables politiques sont seront dans l’obligation de rendre des comptes à la justice. Ils devront dans ce cas justifier la censure qui s’est exercée à l’encontre de scientifiques qui ont alerté sur ces risques.

C’est aussi l’avis de l’avocat spécialiste en droit de la santé Marc Olivier :

« Pour tout le monde, l’État prendrait un risque non négligeable à imposer ce vaccin puisqu’il engagerait alors sa responsabilité en cas de problèmes et d’effets néfastes sur la santé à long terme. D’ailleurs, la jurisprudence sur ces autres vaccins devenus obligatoires par le passé, confirme qu’il y a toujours matière à discussion en cas de recours judiciaire.… »

Source : France 3. https://france3-regions.francetvinf...

Mais sans aller jusqu’à formuler de telles possibilités, le traitement statistique des effets secondaires graves au niveau national et international est très insatisfaisant car la remontée vers les autorités des cas n’est pas obligatoire mais simplement déclarative.

Il n’est donc pas actuellement scientifiquement possible, faute de volonté politique à obliger la déclaration de ces effets secondaires, de pouvoir évaluer avec exactitude le nombre de cas d’effets secondaires graves et le nombre de décès consécutifs à la vaccination. L’étude précise du rapport bénéfice/risque par tranche d’âge reste donc pour l’instant très approximative.

Dans un tel contexte d’incertitudes , il est donc pour le moins discutable de vouloir imposer une obligation vaccinale.

On évalue à environ 11000 le nombre de décès au niveau européen consécutifs à la vaccination anti COVID

Source : Conseil scientifique indépendant. Réunion 14 du 15/07/2021 https://crowdbunker.com/v/nen8o1aI

Observons aussi que l’immunité acquise naturellement par les anticorps fabriqués à la suite d’une contamination est de très loin supérieure à l’immunité obtenue par la vaccination. On comprend alors mal comment justifier un passeport vaccinal passe sanitaire sans tenir compte de cette réalité. (Voir la vidéo précédente).

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On peut donc comprendre que des milliers de nos concitoyens aient participé dans plusieurs villes de France à des manifestations protestant contre le pass sanitaire comme le relate le magazine « Le Point » :

https://www.lepoint.fr/societe/de-n...

** la députée insoumise Mathilde Panot a protesté contre cette obligation vaccinale à l’Assemblée nationale : En Macronie, le vaccin à la matraque.

https://www.youtube.com/watch?v=X_F...

La partition symphonique du chef d’orchestre Macron « Séduction, manipulation et intimidation » se dirige non pas avec une baguette mais une matraque :

matraquage médiatique, matraquage par Dudges, matraquage policier sur la tête et le porte-monnaie.

On aura reconnu les 3 choeurs : les journalistes – valets ; les agents publics et privés de l’économie comportementale ; la police de contrôle et de répression.

L’assemblée nationale se comportera-t-elle comme chambre d’écho lors de la représentation du 21 ?

Juillet 2021 ?

En attendant de nouvelles manifestations sont prévues le samedi 17 juillet 2021 Des pétitions circulent contre le pass sanitaire ou vaccinal.

Voici quelques liens pour en prendre connaissance. La lecture de ces pétitions, dont la liste n’est pas exhaustive, permet de connaître tous les argumentaires s’opposant à l’obligation vaccinale des vaccins contre la COVID 19 et le pass sanitaire.

https://www.petition-passeport-sani...

https://petitions.assemblee-nationa...

https://www.mesopinions.com/petitio...

https://www.gj-magazine.com/gj/peti...

https://dejavu.legal/fr

https://www.change.org/p/monsieur-l...

https://www.leslignesbougent.org/pe...


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