Trente-cinq eurodéputés devraient se retrouver au sein de la GUE-GVN.

Le pays le plus peuplé, l’Allemagne apporte le plus important contingent avec huit sièges occupés par Die Linke.

Elle est suivie par la France, où le Front de gauche obtient cinq élus.

De même que le Portugal, où le Bloc de gauche en décroche trois et le Parti communiste deux.

Le Parti communiste de Bohême-Moravie en République tchèque se voit attribuer quatre élus.

La délégation grecque est partagée entre les deux élus du Parti communiste (KKE) et celui de la coalition Syriza (autour de Synaspismos).

À Chypre, les communistes d’AKEL, et aux Pays-Bas le Parti socialiste ont deux sièges.

Enfin, n’obtiennent qu’un siège le Parti socialiste populaire au Danemark, le Parti de gauche en Suède, et le Sinn Féin au Royaume-Uni.

Trente-trois sièges sont donc sûrs, avec l’un des deux députés espagnols d’Izquierda unida (IU).

D’autres députés pourraient encore rejoindre le groupe d’ici l’installation du Parlement à la mi-juillet.

Il s’agit d’un Vert catalan élu sur les listes d’IU, du député du Parti socialiste en Irlande, ou encore de l’un des députés lettons.

G. D. S.