L’ancien premier ministre lance son mouvement « indépendant ».
Le ton fut solennel. La voix grave et lente. Hier, Dominique de Villepin a repris l’accent de celui qui regarde la France avec hauteur, de celui qui porte une vision et s’inscrit dans l’histoire. Légitimé par l’échec de la droite aux régionales, et le message « de défiance, d’exaspération et de sanction » sorti des urnes, l’ancien premier ministre a estimé que les traditions (...)