Un gendarme qui témoignait de sa solidarité à un collègue radié, au moyen d’un poème montrant de l’ironie contre Nicolas Sarkozy, a été suspendu par sa hiérarchie, apprend-on à la Direction générale de la gendarmerie.
On pouvait lire dans ce poème intitulé "il pleut sous nos képis", diffusé le 3 avril sur le site d’une association : "Aujourd’hui, Sainte Geneviève saigne et pleure, je sens bien ses larmes chaudes sous mon képi, comme si sur moi Sarkozy faisait son (...)