La conclusion du rapport commandé par la Présidence roumaine est sans appel : en vingt ans, Bucarest a subi plus d’outrages que sous Ceauşescu. Espaces verts qui disparaissent, vieilles demeures appartenant au patrimoine rasées pour laisser place à des buildings sans âme. Les Nouvelles de Roumanie dressent un portrait alarmant de cette situation qui vaut aussi pour les autres villes du pays, livrées aux promoteurs immobiliers et au capitalisme sauvage.
Dorina Banisor est venue (...)