Après l’Islande et la Grèce, le Portugal et l’Espagne viennent de voir leur note abaissée par les agences de notation financière, ce qui leur annonce des lendemains difficiles. À lire la plupart des commentateurs, les « marchés » qui spéculent contre ces pays semblent avoir la puissance d’une force de la nature. Rien ne pourrait s’opposer à l’action des traders et des fonds spéculatifs, comme s’il s’agissait de catastrophes naturelles ou de (...)