Suite au maintien en liberté sous contrôle judiciaire d’une personne soupçonnée d’avoir participé à un braquage par le Juge des Libertés et de la Détention du Tribunal de Grande Instance de Grenoble, une avalanche de critiques pleuvent sur les magistrats du siège. Le ministre de l’intérieur exprime sa " très vive indignation" et le Président de la République n’hésite pas à juger "difficilement compréhensible" la décision du juge à l’égard de celui qu’il (...)