Pas de vacances pour la casse du FMI Le FMI s’est bel et bien installé en Europe. Les chefs d’Etat européens, incapables de s’entendre pour aider la Grèce, lui ont d’abord ouvert la porte. Il force aujourd’hui tout le monde à avaler sa cuisine néolibérale. Mandaté par l’Union Européenne, sans aucune légitimité démocratique, il impose la casse sociale comme condition du versement des sommes promises et se proclame juge des politiques menées par les (...)