En 2006, si l’on en croit les révélations du site WikiLeaks, DSK aurait confié à l’ambassadeur des États-Unis que la forte popularité de Ségolène Royale dans les sondages était le fruit d’une « hallucination collective ». Sans doute porte-t-il un regard différent sur sa propre ascension dans les sondages de la fin 2010.
Pourtant, dans les deux cas, leurs rapides ascensions dans les sondages ont la même origine : une construction conjointe des instituts de sondages et des (...)