Le procès de 14 militaires, pour la plupart chiliens, accusés de la disparition de quatre Français sous la dictature d’Augusto Pinochet au Chili entre 1973 et 1990, s’est ouvert aujourd’hui en l’absence des accusés à Paris.
Le président de la cour d’assises Hervé Stéphan a appelé en vain les accusés et constaté que, comme prévu, ils avaient renoncé à se faire représenter par un avocat. Ils dénient en effet à la justice française le droit de les poursuivre. Le (...)