L’hiver, certains palaces marocains, tunisiens ou égyptien sont si prisées des politiques français que l’on pourrait tenir là-bas un conseil des ministres.
Par conformisme autant que par facilité, ils s’y retrouvent selon une géographie qui tient souvent à la présence de résidences royales – au Maroc – ou, en Tunisie et en Egypte, d’hôtels tenus par l’élite économique du pays, presque toujours liée au pouvoir politique. On y pratique (...)