A l’heure où le capitalisme fait sa crise, comment la gauche radicale peut-elle se regarder le nombril en comptant ses divisions au lieu de faire force commune et de mettre à jour son projet, en ouvrant les portes et les fenêtres sur ce qui bouge, conteste et invente dans la société ? Comment pouvons-nous laisser le terrain à l’extrême droite, qui prospère sur la désespérance sociale et le divorce consommé entre le peuple et les élites ? J’ai honte pour celles et ceux dont (...)