La répression est particulièrement féroce, des centaines de citoyens sont portés disparus. La torture est pratiquée jusqu’à la mort. Les militaires ont investi les hôpitaux. Des chirurgiens, pédiatres, obstétriciens, des infirmiers, ont été arrêtés et détenus. Des interrogatoires auraient eu lieu en salle d’opération.
Appuyés depuis février par plus de 80 % de la population, les insurgés réclament une réforme constitutionnelle.
Par malheur, on trouve dans ce pays un port, qui (...)