Le traitement de l’affaire Strauss-Kahn interpelle à nouveau la profession de journaliste.
Il n’est pas question de minimiser l’impact de l’affaire sur la vie politique française, ni sur le fonctionnement du FMI ; néanmoins, on peut s’interroger sur le déluge de prétendues informations déversées par tous les médias.
Certains commentateurs n’hésitent pas à affirmer haut et fort qu’ils respectent la présomption d’innocence, tout en multipliant (...)